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"A défaut de comprendre qui nous sommes et d'où nous venons, je ne pense pas que nous puissions réellement progresser " Louis B. Leakey

jeudi 2 novembre 2017

Les contes de Solman - A travers la Maison VIII : ... aux introspections totales



Solman est maintenant associé à Lune pour poursuivre son périple. Les voici entrant dans la maison VIII, secteur considéré comme bien mystérieux, en lien avec l’inconscient, les secrets, les choses cachées, la sexualité, les transformations, l’argent qu’on reçoit des autres.

Cette maison est en analogie avec le signe du Scorpion, la planète Pluton, c’est une maison d’Eau.
Ses mots clés : Héritages, dépossessions, mort et renaissance, contact avec les mondes occultes.

C’est le secteur de l’approfondissement relationnel, c’est dans cette maison qu’on cherche à fusionner avec l’autre, où on teste l’intensité et la profondeur de la relation mais où on recherche aussi notre sécurité intérieure, notre sécurité émotionnelle.
On est mis au défi dans cette maison de s’impliquer pleinement dans la relation, d’accepter de dévoiler nos zones d’ombre, nos angoisses, nos peurs, tout ce qu’on juge en nous de peu valorisant afin de nous montrer authentique face à l’autre, sans faux semblant. 

La maison VIII est aussi un secteur d’argent, ce qu’on reçoit des autres mais aussi nos pertes, ce qui nous est retiré et ce à quoi on doit renoncer : héritage, legs, assurance, rente, suite à une association, un mariage…

C’est donc un secteur de transformation et de lâcher prise, on prend conscience du côté illusoire de la possession, c’est un passage à un état de conscience plus spirituel.


... aux introspections totales

La porte VIII s’ouvre et, immédiatement, une odeur âcre s'en échappe.
Soleil et Lune reculent et s'observent : les autres sont rentrés, les portes se sont fermées.
Un hurlement se fait entendre, Lune se précipite dans les bras de son partenaire. Contrairement à ce que Soleil pensait après avoir touché le fauteuil de Lune dans la pièce précédente, le contact de leur deux natures différentes se révèle agréable, voire même très plaisant. Il sent une douce chaleur se saisir de son corps, une sensation de bien être le parcourir, une douce flamme s'allumer dans son bas ventre.
La voix de Lune le rappelle à la réalité :

Lune : Qu'est-ce que c'était ?

Soleil : Hum... Euh oui... Hein ? Quoi ? Euh, ne t'inquiète pas, cela devait être juste le vent. Enfin, pardon, ne vous inquiétez pas, cela…

Lune : Hi ! Hi !… Je crois que nous pouvons envisager le tutoiement, en effet…

Un cri, semblant être celui de Vénus et venant de la pièce d’à côté, traverse à nouveau les murs.

Soleil : Euh… Oui, oui, c’est ça, le tutoiement… Evitons les chichis, comme l’a si bien dit Mars tout à l’heure… Euh, bon… Ca va ? Tu te sens suffisamment forte pour la suite de l’aventure ?

Lune échange un regard avec Soleil en guise de réponse, ce qui lui fait totalement oublier sa peur ; elle sait qu'il sera à même de la protéger quoiqu'il arrive. Elle répond à son sourire, lui prend la main et faisant un signe de la tête vers la porte :

Lune : A nous la pièce VIII ?

Soleil : C'est parti !

Soleil et Lune franchissent le seuil. Se retournant pour contrôler le déclenchement de la porte, Lune donne un coup de coude à Soleil, trop absorbé par l'atmosphère étrange de la pièce pour avoir penser à la routine de son aventure : revenir sur ses pas. Soleil observe alors à l'emplacement de la porte VIII, une petite flaque d'eau nauséabonde. Il sourit à Lune et hausse les épaules.




Soleil : Toute cette ambiance pour cette petite mare ! C'est assez curieux, je m'attendais à quelque chose de plus... spectaculaire.

Lune : Oui ! Moi aussi, plus nous avançons dans les maisons, plus les portes s'activent de manière grandiose et impressionnante. Mais pas ici... Bizarre.

Soleil : Ne t'inquiète pas, c'est juste une petite pièce ridicule. Allez ! Cela s’annonce finalement d’une grande facilité ici, viens !

Lune : Hum... D'accord. Mais sache que je ne la sens pas du tout cette pièce, moi…

Soleil : Allez viens, je te dis !

Soleil et Lune se séparent pour accroître leur chance de trouver au plus vite le mot de passe ; la pièce est si étrange que Lune ne souhaite pas rester une minute de plus. La maison est composée d'un immense bric à brac où se côtoient cadres et miroirs, livres de psychanalyse et romans noirs, nourritures, fleurs... : une véritable brocante d'objets déjà utilisés ou cassés.

Soleil saisit un cadre représentant une scène de bonheur familial : un enfant sur les genoux de sa mère à côté de son père, tous souriants. Au fur et à mesure que Soleil reste fixé sur l'image, celle ci se met en mouvement, elle prend vie sous ses yeux. Un spectacle visuel démarre.

Soleil : Regarde Lune, les images bougent dans les cadres ! Viens voir !

Lune, de son côté, est occupée à observer un miroir, elle ne lui répond pas. Elle se trouve très jolie, peut être un peu ronde à son goût ; normal elle est en phase d'être pleine, mais une tâche apparaît sur le miroir au dessus du front de Lune. Elle tente de l'essuyer avec ses doigts, rien y fait ; pire, la tâche s'agrandit.

Soleil est concentré sur la mini pièce de théâtre : la mère câline l'enfant, le père l'embrasse tendrement. Soleil aime ces démonstrations d'affection. Il regarde Lune et pense au jour où il osera l'embrasser mais il revient sur le cadre, attiré par une scène qui n'a plus rien d'idyllique : le père saisit l'enfant par le bras et le frappe violemment ; la mère tente de freiner son mari puis se résigne soudainement et se met dans un coin de la pièce ; elle semble assister, complaisante à ce triste spectacle. Soleil est surpris et dégouté. Il jette le cadre par terre pour ne pas voir la suite. Il en prend un autre.

Lune observe la tâche s'agrandir et finalement s'emparer entièrement du miroir. Elle voit alors apparaître devant elle une boule noire au regard sournois et à la mine dévastée. Le sourire de ce personnage n'est pas engageant et ressemble plus à une grimace, il semble même cruel. Lune a l'impression que l'image tente de l'hypnotiser et celle-ci, lui faisant un clin d'œil sarcastique, désigne Lune du doigt et se désigne à son tour. Le cœur de Lune ne fait qu'un bond lorsqu'elle comprend ce qui se passe devant elle : la petite boule noire c'est elle, son côté sombre, ce qu'elle tente de se cacher à elle-même et aux autres.
Lune est de moins en moins rassurée, elle regarde Soleil : si elle l'appelle, il la verra dans toute sa médiocrité et elle ne peut s'y résoudre. Ainsi, malgré sa peur, elle choisit de ne rien faire, ne dit rien et cache sa terreur tandis que la douleur la surprend.

Soleil, de son côté, attend l'animation suivante dans son nouveau cadre : une fillette et son chat. Celui ci, dès la photographie prise, détale à vive allure. La fillette se jette alors sur un balai et hurlant de colère, tente d'assommer son animal de compagnie. Soleil dépité, pose le cadre et jette un rapide coup d'œil sur les autres : une vieille dame et son mari (le mari commence a étranglé sa femme, sans doute pour le tas de pièces brillantes à ses côtés), un militaire recevant une médaille (des fantômes d'enfants mutilés se cachent derrière celui ci sans doute coupable de leurs sorts), etc...   

Voulant se changer les idées, Soleil regarde Lune, mais celle ci lui apparaissant totalement effrayée, décide d'aller à sa rencontre. En chemin, il prend des fleurs qui trainaient dans un vase :

Soleil : Tu as raison Lune, cette pièce est bizarre et j'ajouterai malsaine. Nous nous dépêchons de trouver la porte suivante et nous y allons. Cette atmosphère me glace le sang...
Ha ! Ha ! Ha ! T'as vu ? Je fais de l'humour noir !

Lune ne répond pas. Soleil répète sa blague pensant qu’elle ne l'avait pas entendu, mais toujours pas de réponse. Il arrive à ses côtés, lui tend les fleurs (à son grand étonnement totalement fanées) et lui demande ce qui ne va pas : toujours pas de réponse. Il passe sa main devant les yeux de Lune, ceux ci restant grands ouverts mais sans un seul battement de paupières. Soleil panique, il saisit Lune par les épaules et la secoue tout en lui criant de réagir.

Il est trop tard, Lune est définitivement bloquée dans son corps : elle est pétrifiée. Soleil regarde machinalement le miroir. Il distingue une immense boule noire à côté de ce qui semble être le reflet de Lune, petite boule noire également. Tout à coup, le cœur de Soleil lui fait horriblement mal, il met une main sur sa poitrine et un genou à terre. En un instant, il comprend qu'il s'agit également de son reflet, que cet hideux personnage à côté de Lune et qui vient de mettre une main au sol est bien lui.

Soleil : Quelle horreur ! Quel monstre d'orgueil !

Il sent son corps se tétaniser. Cette pièce oblige donc à se regarder dans sa plus monstrueuse vérité : Soleil a compris le message. Il faut qu’il puisse donner le mot de passe avant qu’il ne soit trop tard. Il tente de se calmer, faire battre son cœur moins vite et regarde aux alentours si la prochaine porte apparaît, mais rien ne se produit. Il reste face à lui-même et lutte de toutes ses forces pour ne pas subir le même sort que Lune.

Il réalise alors que l'eau nauséabonde créée par la disparition de la porte VIII vient se frayer un chemin jusqu'à leurs pieds. Les choses empirent : il est bloqué, son cœur est sur le point d'exploser, il ne peut sauver Lune et l'élément le plus redouté de sa nature est en train de l'attaquer. La douleur se fait fortement ressentir, il fait des efforts surhumains pour se dégager, sans succès. L'eau noirâtre monte désespérément, les voilà maintenant en danger de mort immédiat.
 
Soleil pose son regard sur Lune et distingue une larme s'écouler sur sa joue. Il se met à pleurer à son tour. Il réalise que tout est maintenant perdu, qu’il ne peut plus rien faire. Il se rend compte qu’il a échoué, menti : il n'est pas le meilleur, le plus fort, le plus valeureux ; il n'est rien de tout cela. Dans cette pièce, il n'est plus qu'une image horrible dans un miroir. Le parfum de la mort, sans doute l'odeur de la mare qui grandit encore, parvient jusqu’à ses narines tandis que des algues, des scorpions, de la vase grignotent les cuisses de Soleil.

Dans un effort supplémentaire, utilisant la dernière énergie disponible, Soleil réussit à saisir la main de Lune. Il veut lui montrer qu'il est à ses côtés dans la mort qui les attend. Il l’aime. Il sait qu’elle lui survivra quelques minutes, et qu’elle ne mourra pas de la sensation de froid ou de la noyade mais les algues finiront par l’empêcher de respirer, bloquant sa capacité à respirer sous l’eau.

Malgré la souffrance de son corps et la peine de son cœur, il serre la main de Lune pour lui prouver son amour. Puis, à bout de forces, sa main tombe dans l'eau. Il pleure de douleur et se refait le film de sa courte vie : son incapacité à la sauver, son manque de volonté, sa frustration, son mensonge, son égo, son orgueil. Il se maudit d’avoir jouer un rôle, il aurait dû être vrai, rester vrai.
L'authenticité, c'était peut-être cela le mot de passe, en tout cas c'était une hypothèse qui semblait juste mais le jugement a sonné et la sentence est dure et implacable : Soleil et Lune vont mourir. Il contemple le bouquet qu'il avait dans les mains et les livres qui flottent à la surface de l’eau.
Par une  curiosité mal placée, Soleil lit le résumé de la jaquette du roman intitulé : "Le Portrait de Dorian Gray". Une pointe de cynisme le fait sourire : ce n'est seulement vers la fin de son existence qu'il réalise ses erreurs.

L'eau arrive à son menton. Soleil est surpris d'avoir survécu jusqu'ici mais il sent bien que la vie le quitte tout doucement. Il voudrait hurler à Lune son amour, qu'elle lui pardonne sa bêtise, ses mensonges. Il regrette le temps qui lui a manqué pour lui montrer toute son affection mais aussi ses véritables qualités. Il est maintenant trop tard et dans un dernier regret, une dernière larme, Soleil s’éteint définitivement…

Lune ne voit pas que son compagnon est déjà mort mais elle le sent au fond d’elle-même. Elle ne va pas tarder à le rejoindre, elle cherche désespérément à retrouver la main de Soleil qu’elle  ne sent déjà plus depuis quelques minutes.

Lune : Quelle idiote !

Elle a été menteuse, passive et attentiste, elle a préféré dissimuler ce qui aurait pu les sauver par crainte de ne pas être comprise, aimée. Elle ne sentait pas cette pièce et elle avait raison. Elle aurait du l’alarmer et sauver son partenaire. Elle commençait à l’apprécier plus qu’elle n’aurait voulu et même à le trouver fortement attirant, elle s'attachait à lui.
Mais elle a scellé leurs sorts par son indécision, elle l’entraîne avec elle dans la mort. Des algues pénètrent dans sa bouche, elle commence à suffoquer, l'air devient plus rare. Elle va le rejoindre, ce beau partenaire qu'elle semble de plus en plus aimer… Elle évite de paniquer pour ne pas accélérer sa mort tandis qu’elle jette un dernier regard aux quatre coins de la pièce en espérant un miracle mais en vain. Ses yeux se ferment, elle prend une dernière bouffée d'air et s'évanouit, définitivement.

Le bruit d’un gros mécanisme se fait alors entendre et tout le sol de la pièce amorce une descente encore plus profondément sous l’eau. Les objets et meubles semblent alors s’élever tandis que les deux cadavres de Soleil et Lune pénètrent dans leur éternel cimetière marin. Mais après de longues minutes, une lumière souterraine apparaît soudain. A mesure que le sol s’abaisse, l’eau reste comme figée au plafond et l’air reprend ses droits, la lumière se répand maintenant dans une nouvelle pièce beaucoup plus radieuse et sereine.


Une odeur de printemps, des oiseaux qui chantonnent et une végétation luxuriante, vivante envahissent les quatre coins de ce merveilleux jardin d’Eden. Après l’enfer, serait-ce le paradis ? Une nouvelle vie ? 
Soleil ouvre les yeux. Il toussote, crache l'eau ingurgitée, mais, trop faible, s'évanouit. Lune s'éveille à son tour et vomit les algues. Apercevant Soleil, elle se traine jusqu'à lui s'allongeant à ses côtés. Elle réalise qu'elle a survécu et vérifie le pouls de son partenaire. Celui ci ouvre à nouveau les yeux et avec une grande difficulté, lui sourit.

Soleil : Je suis désolé…  J’aurai dû te dire avant : je t’ai menti et je me suis aussi menti à moi même. Je ne suis pas le plus fort, ni le meilleur, je suis en fait très orgueilleux. Je ne fais que ce que je peux. Je n'ai pas su te protéger, pardonne moi.

Lune : Tu n'as rien à te faire pardonner. Je t'ai menti également : je peux être versatile et paresseuse. Je ne suis malheureusement pas à la hauteur de ce que tu espères.

Soleil observe une éphémère qui vient de se poser sur une plante à côté d'eux. Il regarde Lune et caresse sa joue. Puis se moquant de la situation, finit par improviser :

Soleil : Bonjour je me présente : je m'appelle Soleil et je suis loin d'être le meilleur, je suis un monstre d’orgueil. Mais, si vous me laissez ma chance, je ferai de mon mieux pour me tenir à vos côtés car… Je vous aime.

Lune : Hi ! Hi ! Enchantée Soleil, moi c'est Lune… Je suis faible, indécise, d’humeur changeante mais… Je crois bien que je vous aime aussi.



Soleil plonge alors son regard dans celui de Lune. Il a osé lui montrer sa vérité, sans mensonge, sans faux-semblants. Il se penche, caresse les cheveux de Lune et l'embrasse. De cette pièce, il n'attendait rien mais la renaissance est au bout du cauchemar, du chemin parcouru. Après cette traversée du tunnel, il se sent au sommet de son énergie, il a un sentiment de surpuissance : en se rendant compte de son égocentrisme, il est devenu paradoxalement plus fort. Ne se souciant plus de trouver la prochaine porte et le mot de passe, ils décident de savourer ce petit bout d'Eden. Dans cet instant de bonheur revenu, ils font l'amour intensément et passionnément.

Finalement, les anges les surprennent et posent la question tant attendue, Lune et Soleil rient et en choeur déclarent : « Nous nous transformons ! ».




Les précédents épisodes :
A travers la Maison I - De l'éveil solitaire...
A travers la Maison II - De l'acquisition partielle...
A travers la Maison III - De l'idée neuve...
A travers la Maison IV - De l'émotionnel rêvé...
A travers la Maison V - De l'amour noble...
A travers la Maison VI -  De ces petits riens...
A travers la Maison VII - ... Aux identités sociales

© Tous droits réservés - Estelle Galliot pour le texte
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6 commentaires:

  1. Une caricature du Scorpion inquiétante, l'auteur ne doit pas aimer ce signe pour le déprécier autant.
    Il y a beaucoup d'apprentis alchimistes dans ce signe, c'est le signe d'une véritable quête spirituelle intérieure ...

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    1. Ici on parle de la maison VIII et non du signe du Scorpion. Même s'ils sont en analogie, on ne peut pas en faire la même interprétation. Ici Estelle a mis l'accent sur l'approfondissement relationnel amenant à la transformation

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    2. Je vis la maison 8 dans mon cycle soli-lunaire progressé et crois moi Anne-Marie, la maison 8 n'est pas aussi terrible que ce que l'auteur veut faire passer dans cette épisode de Solman.
      Pourquoi voir dans la nature Scorpion ou maison 8 autant de négatif, je ne comprend pas ...

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  2. Désolée de t'avoir heurtée. Non je n'ai absolument rien contre la maison VIII et encore moins contre le Scorpion.
    Je te propose de relire cette maison qui n'est que l'explication traditionnelle mise en histoire, ni plus, ni moins.
    Apres, est ce que je suis entièrement traditionnelle, non, mais les contes étaient une "commande" pour un certain dite à l'époque, ils sont "bien" pour débuter, et c'est tout pour le moment, un reboot est prévu avec MA version moins manichéenne que la tradition sur mon site.
    Je trouve ta critique un peu facile et surtout stérile... Si je peux me permettre (moi aussi j'ai de la VIII et du Scorpion, même pas peur ^^)
    Estelle Galliot

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  3. moi j'ai la lune en maison 8 en poissons et trigone à jupiter en cancer en 12
    un trigone dans 2 maisons de santé cela donne quoi? 16-08-1954 paris 04h30
    merci de m'éclairer louise

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    1. Concernant la santé impossible de vous répondre, je ne m’aventure pas dans l’astrologie médicale. Par contre la 8 et la 12 sont des maisons hautement émotionnel et avec la Lune en aspect de trigone à Jupiter il est vraisemblable que vous soyez très réceptive aux ambiances, tres sensible, intuitive mais aussi tres impressionnable et peut être vulnérable. Vos émotions s’expriment sans doute avec force.

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